Une seedbox sous Kubernetes
Kubeseed est un projet de seedbox et autres outils tournant sur un moteur Kubernetes. L’implémentation qui a été choisie est k3s
Ce projet est destiné à simplifier l’installation et l’usage des outils nécessaires à une seedbox. Toutefois, l’utilisation de kubernetes n’est pas forcément simple. Il est recommandé d’avoir des bases en administration système linux, et de ne pas avoir peur de mettre les mains dans le cambouis.
De plus, le projet est en cours de développement actif, et il y aura certainement des adaptations à faire au fil de l’eau.
Si vous cherchez un projet plus simple à utiliser, je recommande ssdv2 des mêmes auteurs, qui tourne en docker.
Vous avez besoin :
Non obligatoire mais conseillé : l’utilisation de cloudflare. Cela permet les enregistrements automatiques des sous domaines.
Si vous utilisez rclone, vous aurez besoin d’un rclone.conf déjà configuré.
A minima, les ports 80 et 443 doivent être accessibles. Certaines autres ports devront être accessibles selon les outils installés :
Avec ces outils, connectez vous avec un user qui a les droits sudo (pas en root !), puis :
git clone https://github.com/projetssd/kubeseed.git
cd kubeseed
./seedbox.sh
et laissez vous guider…
Plusieurs variables d’environnement peuvent être déclarées avant installation, pour éviter des saisies manuelles. La liste des variables possibles se trouve dans le fichier kickstart.sample
Vous pouvez aussi copier le fichier kickstart.sample en kickstart, modifier son contenu selon votre convenance, et il sera pris en compte lors de l’installation.
Dans le cas ou vous faites une migration depuis ssdV2, suivez ce guide